L’effet OA, c’est l’effet que produit Olivier Allain, préparateur physique de métier, blogueur invétéré, via son blog, sur ses lecteurs. Un effet fou, puisque chacune de ses publications est lue par plusieurs milliers voire plusieurs dizaines de milliers de fidèles.
En quoi consiste l’effet « OA » ? Réponse dans cet article qui, avouons-le, a pour but, en toute modestie, de bénéficier lui aussi de l’effet « OA ».
L’effet « OA », vous vous en doutez, ne tombe pas du ciel. Pour qu’il se produise, il faut beaucoup de générosité et un peu de rigueur pour respecter quelques règles.
Régularité
Première règle, la régularité. L’idéal est de créer des rendez-vous avec vos lecteurs. Pour cela, Olivier Allain, qui l’a bien compris, publie régulièrement. Résultats : ses prises de parole sont attendues, vues et lues. Une seule contrainte, adaptez le rythme des publications à vos capacités.
Date de publication
Le choix du jour de publication est tout aussi important. Réfléchissez-y bien. Le plus souvent, publier un lundi matin sera moins efficace qu’un jeudi soir, par exemple, en fin d’après-midi. Dans ce cas, votre lecteur recevra une alerte, consultera l’article et le mettra de côté pour le lire tranquillement pendant le week-end.
Hiérarchisation de l’information
Le volume de l’effet OA doit beaucoup à la hiérarchisation de l’information. Un titre, un sommaire, des inters, des repères de couleurs, des pictos… tout ce qui facilite une compréhension en un coup d’œil de votre propos incite l’internaute à vous lire. Mieux, en captant son attention, vous emmenez le lecteur où vous le souhaitez… tout droit vers une nouvelle action.
Ligne éditoriale
Elle doit être en phase avec les intentions de la marque. Bien entendu, c’est important sur le plan graphique mais on aurait tort de minimiser la dimension éditoriale. Olivier Allain donne une information professionnelle et pédagogique. C’est une orientation claire qui colle à sa marque (et, au-delà, à sa vision de son métier). Pensez vos sujets et la façon de les présenter (votre style) selon la personnalité de votre marque. Et pour en assurer la cohérence, définissez soigneusement votre ligne éditoriale. Pédagogique, professionnelle, amicale, humoristique, complice… les possibilités sont nombreuses.
La bonne longueur
Pas besoin de lire le Tao-tö king de Lao Tseu pour en prendre conscience, la ligne éditoriale a un impact sur la longueur des articles. Olivier Allain qui a pris une voie pédagogique et professionnelle ne peut proposer des articles trop courts car ses lecteurs attendent une argumentation, des détails, des preuves. Pour un ton enjoué, voire disruptif, la brièveté sera préférable. Court ou long : « plus tu, plus tu ; moins tu, moins tu » !
Référencement
Enfin, l’air de rien, la performance du référencement est aussi liée à l’intérêt des contenus ainsi qu’à la présence de mots clefs bien choisis. Google affine ses algorithmes et est capable d’apprécier la qualité proposée. Or l’effet OA se mesure aussi en nombre de lecteurs. Ainsi soit le référencement !