Conseils pratiques – Frsh https://frsh.fr Communication digitale Thu, 09 Jun 2022 13:43:05 +0000 fr-FR hourly 1 https://wordpress.org/?v=5.9.9 https://frsh.fr/wp-content/uploads/2018/12/favicon.gif Conseils pratiques – Frsh https://frsh.fr 32 32 La stratégie employee advocacy : quand vos collaborateurs parlent de votre marque https://frsh.fr/la-strategie-employee-advocacy-quand-vos-collaborateurs-parlent-de-votre-marque/ Thu, 09 Jun 2022 13:42:40 +0000 https://frsh.fr/?p=55448 Aujourd’hui, avoir un discours commercial ne fait pas davantage vendre, on recherche plus d’authenticité et de spontanéité naturelle dans les propos tenus vis-à-vis d’une marque. Alors comment communiquer en tant que telle ? Qui de plus légitime que vous-même pour parler de votre entreprise ? Nous allons vous donner plusieurs pistes.

L’employee advocacy, c’est quoi ?

Il s’agit d’une stratégie qui consiste à encourager vos employés à promouvoir leur entreprise, et a ainsi se transformer en de véritables ambassadeurs de votre marque. Cela permet de cultiver l’image de marque, la marque employeur ou encore de promouvoir un produit ou un service, c’est tout simplement un moyen de communication.

Ainsi, le message communiqué a plus de valeur avec cette méthode puisqu’il vient directement d’un employé. C’est une démarche humaine, ainsi perçue comme plus objective.

De plus, nous sommes déjà tous micro-influenceurs de notre réseau, mais cela est amplifié avec les réseaux sociaux facilitant la diffusion de contenu. D’après une étude du centre de recherche américain Pew Research Center, une équipe de 20 collaborateurs aurait une portée potentielle de 5 000 personnes.

La stratégie employee advocacy est donc prometteuse, mais elle doit être encadrée soigneusement afin d’obtenir des résultats efficaces.

Comment mettre en place une stratégie employee advocacy ?

Si vous décidez de mettre en place un programme employee advocacy, il est nécessaire de veiller à la cohérence de ce dernier, car il doit s’inscrire pleinement dans votre stratégie de communication.

1 – Créez du lien avec vos employés

Le secret de la réussite de ce programme, c’est une culture d’entreprise réussie. En effet, des employés heureux au travail = Un discours positif sur l’entreprise.

Du côté des réseaux sociaux, vous pouvez également produire du contenu qui engage vos collaborateurs, en publiant des portraits, des sujets ludiques ou en lien avec la vie de l’entreprise par exemple.

2 – Fixez-vous un objectif précis

Il peut s’agir de valoriser votre marque employeur, de développer la notoriété de votre entreprise, de générer du trafic sur votre site web ou bien de faire la promotion de votre dernier produit par exemple. Cet objectif orientera votre communication.

3 – Encouragez

Expliquez à vos collaborateurs la raison, l’objectif et le fonctionnement de cette stratégie. N’hésitez pas à également mettre en avant les avantages que chacun pourra obtenir à titre personnel, tel que le développement de son personnal branding et de son réseau, c’est un programme « gagnant-gagnant ». Enfin, pensez à leur montrer de la reconnaissance.

Un employé valorisé est un employé engagé.

4 – Accompagnez

Contribuez à la montée en compétence de vos collaborateurs sur les réseaux sociaux avec des formations et des séminaires, et accompagnez-les avec une charte d’utilisation et des guides. Vous pouvez également leur proposer du contenu « clé en main » et personnalisable, pour leur permettre de gagner du temps et d’harmoniser votre image de marque.

5 – Organisez

Établissez un système de suivi des contenus créés, grâce à un hashtag par exemple, ainsi que des KPI à surveiller tels que la portée, l’engagement ou encore le taux de conversion de chaque publication. Cela vous permettra de veiller à votre e-reputation, ainsi que de mesurer l’impact de votre stratégie employee advocacy.

Enfin, le plus important pour que cette stratégie soit performante, c’est de ne pas oublier que tout est basé sur l’authenticité : La culture d’entreprise travaille le fond, et le programme employee advocacy la forme.

Sources

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« Less is more », « laisse, c’est mort » ou les deux ? https://frsh.fr/less-is-more-laisse-c-est-mort-ou-les-deux/ Mon, 28 Mar 2022 13:59:30 +0000 https://frsh.fr/?p=55375 Les mauvaises pratiques c’est mal !

Aujourd’hui nous aimerions vous sensibiliser sur les codes du web (hé non, on ne vous parle pas de codage, mais bien des bases fondamentales pour assurer l’efficacité de son site). L’équipe Frsh vous a concocté une liste des 12 erreurs à ne pas faire pour un site à la fois moderne, ergonomique et performant.

Parce qu’un site web, on le bichonne et on l’entretient !

Api programmation

La structure du site

Les plugins sur un site WP

Il existe une multitude de plugins permettant de faire une multitude de choses. Malheureusement cela a tendance à vite alourdir le site et à impacter son temps de chargement. De plus, qui dit installation de plugins dit aussi mises à jours… Cela va induire des maintenances plus longues et peut conduire à certains conflits.  

Les arborescences complexes 

Chaque contenu doit être accessible via le moins de clics possible (la fameuse « règle » des 3 clics), à la fois d’un point de vue expérience utilisateur (UX) et d’un point de vue business, pour optimiser le trafic sur votre site.  Sur mobile, le menu burger déployé au premier niveau (sans les sous-menu) ne doit pas dépasser la taille d’écran standard. L’utilisateur ne va pas automatiquement scroller le menu, de ce fait certaines pages ne seront pas directement visibles. 

Social wall

Le social wall est souvent considéré à tort comme un outil idéal pour la promotion de ses réseaux sociaux. Une galerie de photos avec une sélection de vos meilleurs visuels peut être plus efficace que la remonté des informations, d’autant plus que cela peut faire écho à votre blog. 

De plus, les réseaux sociaux peuvent changer leurs flux sans que les plateformes proposant des outils d’appel puissent se mettre à jour, provoquant des erreurs d’affichage. ​

Vidéo en lecture automatique sur la page d’accueil

Même si c’est une entrée en matière plus fun et dynamique, il faut savoir que le temps d’affichage et le poids de la page vont forcément être impactés, provoquant ainsi des ralentissements et une navigation moins rapide. D’autre part d’un point de vue accessibilité ça n’est pas pratique ni intuitif pour une navigation via un lecteur d’écran. 

Gestion des contenus

Les contenus

Suppression de pages/articles sans faire de redirection d’URL

Les redirections 301, appelée aussi redirections permanentes, sont un pilier de votre référencement naturel. Elles sont à mettre en place lorsque vous supprimez ou remplacez une page web au profit d’une nouvelle URL. Cela permet également d’éviter les liens cassés (ou « erreurs 404 »). 

Cette pratique est récurrente lors des refontes de site web pour conserver la performance du SEO déjà acquis.

Quoi de plus frustrant que de perdre le fruit d’un travail réalisé sur plusieurs mois, voire années. 

Le référencement naturel ne se perd jamais alors c’est mieux de le préserver !

Copier-coller le contenu venant d’un autre site

Toujours dans une logique SEO friendly, nous ne vous recommandons pas d’utiliser du duplicate content aussi appelé plus simplement du « copier-coller ». Rien ne vaut la création de vos propres contenus pour vous approprier le ton et la pertinence du discours. Les contenus dupliqués sont fortement pénalisé par Google et impactera votre référencement naturel. 

Astuces : Dans le cas où il vous est impossible de retravailler un contenu dupliqué, vous pouvez utiliser les balises canoniques permettant d’informer Google qu’il s’agit d’un contenu dupliqué d’un autre site. 

Seconde option : une balise « no index » vous  permettra de bloquer l’indexation de votre page ou contenu sur Google. 

Les emojis dans les articles

Alors oui, les émoticônes c’est sympa sur Instagram et dans les textos… Cependant ça ne veut pas dire qu’il faut les utiliser à tort et à travers. 

  • Les pour : c’est visuel et ça donne du peps à condition de les utiliser avec parcimonie. 
  • Les contre : ça peut donner une image peu sérieuse de votre entreprise, sans compter que Google filtre certains caractères spéciaux. 

Renseignez-vous donc bien avant sur leur usage avant d’en abuser !

La justification des textes sur le web

Les textes sur internet ne gagnent pas à être justifiés, car :

  • Les césures (tirets de coupure d’un mot) ne sont pas toujours gérées correctement par les navigateurs
  • Sur des colonnes étroites (et en particulier sur mobile), cela créé des espacements peu harmonieux, et encore plus lorsque la phrase est composée de mots longs :

ÉCRIRE TOUT EN MAJUSCULE

ÇA DONNE UN TON ASSEZ NERVEUX, DE PERSONNE QUI HURLE ET C’EST PLUTÔT DÉSAGRÉABLE. 

SEO - Illutration Isometric
SEO illustration Isométric

Le SEO

Menu « Accueil » 

Aujourd’hui la pratique commune sur un site internet veut qu’au clic du logo, l’internaute soit renvoyé sur la page d’accueil. Ajouter un menu « Accueil »  dans l’arborescence peut certes vous rassurer mais cette pratique va surtout vous desservir. 

En effet, cela aura pour conséquence de diluer votre « jus de lien ». Une page proposant un lien menant à une autre page donnera toutes ces chances au lien d’être cliqué. Plus il y a de liens sur la page, plus la probabilité du clic est faible. 

En d’autres termes, plus il y aura de porte d’entrée vers des pages de destinations, moins elles auront de puissance. Alors limitons les liens inutiles qui dilue de le SEO. 

L’oubli de renommage des photos 

On ne vous le dira jamais assez mais nommer / renommer ses photos sur le site c’est primordial ! 

Une image non renommée n’aura aucun poids dans votre référencement naturel. À l’inverse, un visuel renommé pourra apporter des mots clés en plus sur votre site très simplement. Et en plus c’est gratuit ! 

Bon à savoir, les images de votre site peuvent ressortir via Google Image et apporter du trafic à votre site. 

Ne pas avoir d’onglet blog 

Un site doit vivre pour donner envie à l’internaute de revenir chercher de l’info. Pour cela, le meilleur moyen est de créer un blog alimenté par des articles pertinent, actuel et régulièrement mis en ligne. Créer une routine sur votre site vous apportera de la notoriété, des leads qualifiés et bénéficiera à votre référencement naturel. C’est un cercle vertueux !

Les articles de blog trop « pauvres »

Proposer un blog c’est bien, l’alimenter c’est encore mieux. Mais que pensez-vous de bien écrire vos articles et actualités ? 

Un article c’est : 

  • une image à la une renommée 
  • un titre court mais percutant contenant le mot clés principal de la page 
  • un contenus d’au moins 600 mots suivant la structure suivante : 
    • H1
      • H2
        • H3
        • H3
      • H2
  • Le mot clés principal doit se retrouver dans le contenu de façon pertinente 
  • Bonus : une vidéo ou image supplémentaire dans le corps de l’actualité 

Astuce : cette bonne pratique est à suivre pour l’ensemble de vos pages du site. 

Besoin d’info sur d’autres pratiques web ? Consultez-nous !

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Choisir l’UGC pour sa stratégie de contenu https://frsh.fr/choisir-l-ugc-pour-sa-strategie-de-contenu/ Wed, 23 Feb 2022 09:27:40 +0000 https://frsh.fr/?p=55360 Aujourd’hui, chaque marque doit soigner son image en ligne. Site internet, Réseaux sociaux, ou encore Newsletters, les formats sont nombreux  ! Alors, pour assurer la cohérence de votre communication digitale, il est essentiel de définir une stratégie de contenu. Parmi elles, nous allons vous parler de la plus authentique  : l’UGC.

L’UGC, c’est quoi  ?

UGC signifie User Generated Content, en français  : Contenu généré par l’utilisateur.

Aujourd’hui, nous sommes tous des créateurs de contenu. Via nos réseaux sociaux, nous partageons notre quotidien, nos expériences, nos idées… Cela peut, par exemple, prendre la forme d’une vidéo publiée en story sur Instagram. En conséquence, la quantité de contenu présent sur internet est faramineuse.

En parallèle, les attentes des utilisateurs vis-à-vis des marques qu’ils consomment sont de plus en plus élevées. Ils recherchent du sens, de l’authentique et veulent se sentir écoutés.

Avec l’UGC, vous répondez à toutes ces attentes  : En partageant tel qu’il est le retour d’expérience d’un de vos clients, vous véhiculez une image de marque transparente et à l’écoute de ses utilisateurs.

Les avantages de l’UGC

En plus de répondre aux attentes de vos clients, l’UGC permet également de  :

  1. Connaitre son audience  : Via le contenu créé, vous voyez qui elle est, ce qui l’intéresse, et le rapport qu’elle entretient avec votre marque au quotidien. Voir la vraie vie permet de s’adresser à de vraies personnes.
  2. Obtenir du contenu gratuitement  : Avec l’UGC, vous avez un contenu neuf sans rien dépenser, créé de façon authentique par vos clients, pour votre cible.
  3. Améliorer votre SEO  : Le contenu créé par les utilisateurs de votre marque sur cette dernière, créé des liens, vers des réseaux sociaux ou site internet par exemple, et cela renforce la notoriété.
  4. Augmenter l’engagement  : Puisque la cible se reconnaît elle aura tendance à davantage se sentir proche de la marque, et donc, à interagir. Et puis, c’est toujours flatteur de voir sa photo repartagée par une marque que l’on apprécie.

Nos techniques pour obtenir de l’UGC

  1. Interagir  : Répondre aux messages, aux commentaires, liker, partager… Il faut créer du lien, renforcer la proximité avec votre audience, et échanger de façon authentique.
  2. Avoir un # de marque  : Cela vous permettra d’inciter vos utilisateurs à partager leur contenu via ce dernier, et par la suite de vous aider à retrouver le contenu plus facilement, et d’interagir avec celui-ci.
  3. Créer un challenge  : C’est le moment de demander à vos utilisateurs de créer du contenu en lien avec votre marque, et d’utiliser votre hashtag  !
  4. La co-création  : Vous pouvez inclure directement votre communauté dans la création de vos produits ou services, en la consultant pour obtenir son avis, via les réseaux sociaux par exemple.

Quelques exemples…

Burger King est LA marque qui a complétement adopté l’UGC dans sa communication digitale. La biographie de leur compte Instagram l’illustre parfaitement  :

Burger King a choisi l’UGC pour son compte Instagram

Ainsi que leurs publications Instagram  :

Publication Instagram de Burger King

Leurs publications Facebook  :

Publication Facebook de Burger King

Et Twitter bien sûr  :

Publication Twitter de Burger King

Si cet article sur la stratégie de contenu UGC vous a plu, vous pouvez poursuivre votre lecture en découvrant les 7 tendances social media à suivre en 2022.

Vous souhaitez être accompagnés par nos équipes  ?

Vous pouvez nous contacter ici.

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Optimisation SEO – 1er pilier  : technique https://frsh.fr/optimisation-seo-1er-pilier-technique/ Sat, 13 Mar 2021 11:26:23 +0000 https://frsh.fr/?p=54715 Pour un bon référencement, il faut traiter les 4 piliers du SEO et pour ce qui est du premier pilier, il faut d’abord s’assurer que votre site soit bien construit au niveau technique. Le site doit être rapide, cohérent et sympathique ! 

La rapidité dépend essentiellement du poids de ses composants, la cohérence est révélée par la capacité à hiérarchiser intelligemment le site en fonction des choix de mots clés et la sympathie est démontrée si d’autres sites vous ajoutent en lien.

Nous avons déjà abordé comment référencer mon contenu, nous allons donc nous concentrer sur l’incidence de chaque aspect sur le SEO  : 

1 – Comment optimiser le référencement sur le back office ?

Nom de domaine

Hormis le nom de domaine principal, les noms de domaine influent peu dans la recherche Google.

Hébergement

La qualité de l’hébergement joue un rôle dans le référencement suivant le temps de chargement.

Sitemap xml

Certains aspects techniques comme le sitemap sont générés par un module de référencement de type Yoast.

Robot.txt

L’indexation des pages est obligatoire pour être référencée.

2 – Le front office : l’élément clé du SEO

Fil d’Ariane

L’internaute tout comme Google doit se repérer partout sur votre site.

Structure globale du site

Optimiser sa page pour un seul mot clé que l’on retrouve à tous les niveaux : 

Le mot clé principal doit apparaître dans le titre de la page (avec un chiffre, plus susceptible de générer des clics), dans la méta description, dans le slug (permalien) de cette publication. Le mot-clé principal est placé de préférence au début du texte et répété (pas trop de fois) dans toute la page. Comment écrire pour le web ?

Il faut également ajouter le mot clé principal dans un ou plusieurs sous-titres du contenu dans l’attribut alt d’une ou plusieurs images et dans le texte alternatif destiné aux malvoyants. Ajoutez des liens dofollow pointant vers des ressources externes et également des liens internes dans votre contenu. 

3 – L’expérience utilisateur peut-elle influer sur le référencement ?

Vitesse de chargement

La vitesse de chargement du site est un point incontournable pour augmenter sa visibilité sur Google, attention au poids des photos, à bien héberger les vidéos sur les plateformes etc.

Vous souhaitez savoir comment optimiser une image ? 

Mobile first

Google référence le site mobile en premier puis le site desktop, le responsive peut ne pas suffire. A lire : Mobile first : votre site est-il bien positionné sur Google  ?

Qualité de l’expérience utilisateur

Ce que l’on nomme le SXO devient primordial dans les algorithmes de Google. L’UX des sites web est au cœur du comportement de l’internaute qui influe sur le taux de rebond. 

4 – Optimisation SEO pourquoi faire des redirections ?

Définition des urls – Moyen

Il faut que vos urls soient judicieusement choisis avec des mots clés tout en restant courts.

Page 404 utile

Une page 404 qui renvoie sur une autre page du site, c’est utile et apprécié par Google.

Redirection des anciennes pages

Les anciennes pages ont eu une vie que l’on ne doit pas sacrifier avec un nouveau site.

Search Console permet de voir les pages d’erreur et de faire un listing de toutes les pages du site.

5 – Et après, que faire pour améliorer le SEO ?

Maintenance sécurité

Une intrusion malveillante peut détourner votre trafic, la maintenance de votre site permet de préserver votre référencement.

Maintenant que le site possède tous les éléments pour un bon référencement, il faut bien sûr penser au contenu optimisé avec des mots clés et c’est l’objet principal du 2e pilier du référencement.

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Comment revendiquer la propriété d’une fiche entreprise sur Google My Business https://frsh.fr/comment-revendiquer-la-propriete-dune-fiche-entreprise-sur-google-my-business/ Tue, 19 Jan 2021 13:15:00 +0000 https://frsh.fr/?p=54653 Les fiches d’établissement permettent de renseigner facilement l’internaute sur le type d’entreprise, l’adresse, les horaires, les avis, etc. Disponibles à droite des résultats de recherches et sur les cartes lors d’une recherche sur Google Maps. C’est donc un vrai plus pour gagner en visibilité localement.

Revendiquer une propriété Google My Business

Vous devez commencer par trouver le profil de l’entreprise dont vous souhaitez demander la propriété. Pour ce faire, vous pouvez utiliser l’une de ces méthodes :

  • Saisissez le nom et l’adresse de l’entreprise, puis sélectionnez-la parmi les résultats de la recherche.
  • Trouvez votre entreprise sur Google Search ou Google Maps.
  • Cliquez sur le lien « Vous êtes le propriétaire de cet établissement ? »
Revendiquer un établissement

Dans le cas où vous ne trouvez pas de lien vous permettant de faire la demande de récupération, il est probable que vous soyez déjà propriétaire de l’entreprise. 

Une fois la procédure réalisée, vous obtiendrez un message indiquant que quelqu’un d’autre a revendiqué le profil. Cliquez sur le bouton « Demander l’accès » pour poursuivre la récupération de la fiche et remplissez le formulaire.

Établissement déjà revendiqué
Propriétaire google my business

Une fois le formulaire envoyé, vous recevrez une validation de votre demande transmise au propriétaire actuel. Celui-ci aura 3 à 7 jours pour répondre. 

À tout moment, vous pouvez vérifier l’état de votre demande sur votre compte Google My Business ou cliquez sur le lien figurant dans votre e-mail de confirmation.

  • Si votre demande est approuvée : Vous recevrez un mail afin d’accéder à la gestion  du profil d’entreprise dans Google My Business en vous y connectant.
  • Dans le cas contraire, vous serez averti par e-mail et vous aurez toujours la possibilité de suggérer une modification du profil comme le nom du lieu, les horaires…
    Vous pouvez également faire appel du refus de votre demande.

Sans réponse de Google dans les 3 à 7 jours, vous pouvez les contacter pour en connaître la cause ou vous connecter à votre compte Google My Business dans le but d’enclencher la directement via votre tableau de bord en cliquant sur « Revendiquer » ou « Valider ».

Les fiches Google My Business sont essentielles pour le référencement local, si vous souhaitez en savoir davantage sur ce service ou si vous n’avez pas encore de fiche, consulter notre article sur la création d’un compte Google My Business :

Nos équipes restent disponibles pour vous accompagner dans votre stratégie de référencement. 

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Écrire pour le web  : demandez le programme ! https://frsh.fr/ecrire-pour-le-web-demandez-le-programme/ Tue, 17 Nov 2020 11:26:33 +0000 https://frsh.fr/?p=54548 Le contenu est essentiel pour bien référencer votre site Internet, nous vous l’avons déjà dit, mais il ne suffit pas car il faut faire comprendre aux moteurs de recherche la sémantique de votre site, autrement dit, les mots clés et dérivés.

Cela permettra à Google de positionner vos pages en fonction des mots clés.

Les bases

Reprenons, il faut tout d’abord rédiger  ! Et, dans ce but, nous allons faire un tour du côté de l’écriture journalistique  ? Pourquoi  ?

Pour au moins 4 raisons :

  • Il s’agit en premier lieu d’une technique qui consiste à choisir la bonne information et à se débarrasser du superflu.
  • Ensuite, elle recherche l’efficacité. Comment faire simple quand c’est compliqué, comment se faire comprendre en quelques mots, quelques phrases percutantes.
  • Elle sait maintenir l’attention du lecteur. Par des relances, des clins d’œil, des coups d’éclat.
  • Elle sait aussi comment allier le texte à d’autres vecteurs pour enrichir son propos.
Connaitre son client

Les spécificités du web

Elles se situent à plusieurs niveaux  : spécificité du support, nomadisme et volatilité, expérience utilisateur, SEO, landing page, ROI, authenticité…

La spécificité du support

Petit exemple  : écrire les informations-clés au-dessus de la ligne de flottaison peut sembler évident. Eh bien, les sites qui s’affranchissent de cette contrainte sont nombreux. Vérifiez si vous avez un doute.

La volatilité du lecteur

C’est à première vue un obstacle sérieux. Pour l’intéresser mieux vaut bien le connaître. En avoir un portrait robot fiable, qui en dise suffisamment sur lui pour guider la rédaction. Deux sources principales sont à prendre en compte  : les données online et offline. C’est une mine d’or pour vous nourrir et vous orienter.

L’expérience utilisateur

Penser UX quand on rédige pour le web est une nécessité absolue. Pour cela, mieux vaut savoir où l’on va emmener son lecteur, avec quelles ressources  ? C’est la base de l’UX writing. Ceci vous permet de le guider en douceur, de l’accompagner avec discernement tout en répondant à ses attentes…

SEO

Les contraintes du référencement sont bien évidemment à prendre en compte. Hiérarchisation de l’information, mots clefs, mots de relances, phrases courtes, contenus fournis, liens internes et externes… En ce qui concerne les mots clefs, une étude sémantique sera bien utile.

Landing page

C’est votre but ultime. L’expérience proposée a un but  : transformer votre internaute en client.

ROI

Il faut observer l’évolution d’un certain nombre de données  : fréquentation des sites, réseaux sociaux, taux de rebond, achats on et offline.

Authenticité

Quand on rédige, même si l’objectif de la démarche reste un objectif commercial, il faut privilégier la sincérité. Le bling bling, la cosmétique, les froufrous… ça ne passe pas, et c’est assez risqué.

Rédaction d’une actualité  :

  • Un titre court et accrocheur
  • Une url courte en adéquation
  • Des images bien nommées
  • Un chapô servant d’introduction
  • L’article doit être découpé en autant de paragraphes que de messages et ponctuer de mots en gras
  • Une conclusion
  • Placer des liens internes et externes en correspondance avec le contenu de l’article
  • Un appel à l’action : « vous aimerez certainement cet article aussi » ou « cet article vous a plu ? Inscrivez-vous à la newsletter pour n’en rater aucun »

Les balises

Les balises correspondent à des éléments du code HTML d’une page web. Elles sont une partie intégrante de la composition de la page puisqu’elles permettent de mettre en forme et de structurer les contenus.

balises html

Optimisez vos balises pour être sûr d’être bien compris !

Balise Meta description

  • 160 caractères maximum
  • Donne envie à l’internaute de cliquer sur le lien

Rich Snippets (extraits enrichis)

  • Reprend le nom de l’entreprise et du produit consulté
  • Tarif, services et avis

Balise Title

  • 70 caractères maximum
  • Reprend le nom de l’entreprise
  • Se réfère au contenu
  • Mots clés pertinents
  • Descriptif explicite

Balise alt

  • Nom de l’image lu par les moteurs et les personnes ayant une déficience visuelle
  • Reprend le nom de l’entreprise
  • Pour bien rendre compatible cette balise, écrivez le nom de l’image en minuscule et sans caractères spéciaux ni accents

Titres H1/H2/H3/H4

  • Intégrez des mots clés dans les titres
  • Évitez les mots valises comme « historique »
  • Utilisez par exemple « Société, une histoire dans le domaine secteur d’activité »

Maintenant vous avez toutes les armes pour bien rédiger sur votre site Internet, si vous manquez de temps et/ou d’expérience, vous pouvez toujours faire appel à notre pool de rédaction pour le web…

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Optimiser une image pour le web https://frsh.fr/optimiser-une-image-pour-le-web/ Mon, 05 Oct 2020 13:18:45 +0000 https://frsh.fr/?p=54441 Les images font partie des éléments qui alourdissent le plus les pages web, avec les vidéos. Mais contrairement à ces dernières, elles sont très facile à optimiser. Petit tour d’horizon.

Pourquoi optimiser ses images ?

Vous l’avez sûrement déjà constaté : certaines pages peuvent mettre longtemps à s’afficher. Cela peut être dû à la qualité de votre connexion à internet (notamment sur réseau mobile), à la qualité de l’hébergement mais également aux poids des éléments à charger.

Par exemple, une galerie photo de 50 images (non optimisées), peut peser plus d’une centaine de Mo (méga-octets) !

Conséquences :

  • L’internaute va devoir attendre plus longtemps que la page se charge
  • Les moteurs de recherche vont pénaliser le référencement du site (la vitesse de chargement étant l’un des critères pour un bon référencement)
  • Si l’internaute consulte la page depuis son smartphone, il va utiliser plus rapidement son crédit de données mobiles
  • Vous allez plus rapidement remplir l’espace de stockage de votre hébergement web

Quel format d’image utiliser ?

Il existe une multitude de formats, mais peu sont à la fois adaptés au web ET compatibles avec l’ensemble des navigateurs.

Il vaut mieux utiliser le format…

  • JPG, si mon image est une photo
  • GIF animé, si mon visuel est une animation
  • PNG-8, si mon visuel est composé d’aplats simples (logo, graphique, pictogramme…)
  • PNG-24, si mon visuel contient de la transparence
  • SVG, si mon visuel est vectoriel (logo, illustration…)

Le JPG

Avec le JPG, peu de chance de se tromper ! Ce grand classique du web est adapté à la plupart des utilisations grâce à sa bonne compression.

Le GIF

Le GIF est connu principalement car il permet d’afficher des images animées. Il n’a aujourd’hui d’intérêt que cette particularité, ce format étant limité à 256 couleurs maximum.

Le PNG

Ce format se décline en deux méthodes de compression : le PNG-8 et le PNG-24. L’extension étant la même (.png).

Le PNG-8 est, comme le GIF, limité à 256 couleurs. Il bénéficie en outre d’une meilleure compression que son aîné (mais pas de sa capacité d’animation).
Malgré cette limitation colorimétrique, ce format est bien plus léger qu’un JPG pour certains types d’images ayant peu de couleurs, comme les logos, les graphiques, les pictogrammes…

Le PNG-24 a la particularité de pouvoir gérer la transparence (chaque pixel peut être plus ou moins opaque, et donc révéler ce qui sera affiché sous l’image).
Contrairement au JPG et au PNG-8, ce format est dit « sans perte », c’est-à-dire qu’il ne dégrade pas la qualité de l’image. Le revers de la médaille étant qu’il est plus lourd. Il convient donc de ne l’utiliser lorsque cela est nécessaire.

Le SVG

Ce format est dit « vectoriel ». Comme son nom l’indique, il est composé de vecteurs : le visuel est donc calculé, contrairement aux images dites matricielles (comme le JPG ou le PNG par exemple) qui ont une taille en pixel définie.
L’avantage du format vectoriel est qu’il peut être redimensionné à l’infini sans perte de qualité, là où une image classique va être « pixelisée » si on l’agrandie. Le SVG présente aussi l’avantage d’être léger.
Enfin, le SVG peut aussi être animé, même si cela s’avère être plus complexe à réaliser qu’avec le format GIF, car il faut savoir coder.

Les « nouveaux formats » WebP, HEIF/HEIC…

De nouveaux formats d’images, plus performants, ont fait leur apparition ces dernières années. Intéressants « sur le papier », ils ne sont malheureusement pas encore pleinement compatibles avec les différents navigateurs.

Image format
Source : modomodoagency.com/2019/01/22/jpg-vs-png-vs-gif-vs-svg-image-format-guide/

Caractéristiques des formats d’images :

JPGGIFPNG-8PNG-24SVG
Vectoriel
Transparence√*√*
Animation
CompressionAvec perteSur 256 couleursSur 256 couleursSans perteSans perte
*sur 2 niveaux seulement

Comment optimiser une image pour le web ?

Adapter les dimensions de l’image aux dimensions d’affichage

L’erreur classique est de placer ses photos telles quelles sur son site. L’image va certes s’afficher, mais pourquoi charger une photo de 10 mégapixels lorsqu’un visuel bien plus léger de 300 pixels suffirait ?

Il convient donc de redimensionner ses visuels à la taille à laquelle ils seront affichés. Le gain de poids sera déjà considérable.

À quelle résolution dois-je enregistrer mes visuels ?

Peut importe ! On entend souvent dire – à tord – qu’il faut utiliser une résolution de 72dpi pour un affichage à l’écran mais c’est inexact. La résolution est souvent confondue avec la définition d’une image.

La résolution correspond à la densité de pixels sur une zone donnée. Elle est exprimée en dpi = dot per inch, soit points (ou pixels) par pouce (ppp en français). Votre écran, qu’il soit HD, retina, ou du siècle dernier, affichera par défaut chaque pixel de vos visuels sur un pixel de l’écran.

La définition correspond au nombre de pixels de votre visuel : une image de 300×200 px s’affichera sur… 300×200 pixels de votre écran, qu’elle soit en 72, 300 ou 4 000 dpi !

Pour en savoir plus, lisez cet article sur le même sujet

Avec quels outils optimiser une image ?

Photoshop

Si vous avez l’outil phare d’Adobe, la fonction « Enregistrer pour le web » permet très rapidement d’alléger considérablement vos visuels.
Il suffit de choisir le format souhaité (JPG, GIF, PNG-8, PNG-24) puis le niveau de compression.
Pour le format JPG, une qualité de 60 donne un très bon rapport poids/qualité.
Pour les formats GIF et PNG, le poids va dépendre du nombre de couleurs choisi (de 256 à 2 couleurs). Il s’agit donc de sélectionner une palette adaptée à la richesse colorimétrique du visuel.

Les outils en ligne

IloveIMG
Le couteau suisse en ligne de l’image. Il vous permet toutes sortes d’actions sur vos images : redimension, compression, recadrage, conversion, pivotage…

Ezgif
Autre couteau suisse, mais du GIF cette fois. Il permet toute sorte d’interventions sur les GIFs animés, ainsi que de la conversion d’une vidéo en GIF et vice-versa.

TinyPNG
Cet outil (qui existe aussi sous forme de plugin Photoshop) permet par un simple glisser-déposer d’alléger considérablement vos PNG.

SVGOMG
Tout comme TinyPNG, cet outil optimise vos images, au format SVG.

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Webinaire – Site internet, Cookies et RGPD : conseils pratiques pour un usage conforme https://frsh.fr/webinaire-site-internet-cookies-et-rgpd-conseils-pratiques-pour-un-usage-conforme/ Mon, 21 Sep 2020 10:40:58 +0000 https://frsh.fr/?p=54411 Faites le plein de conseils pratiques pour mettre à jour le « bandeau cookies » de votre site web en conformité avec le RGPD !

Cookies et traceurs : il n’y a pas un site internet qui ne les utilise pas, et pour cause – il permettent de faire fonctionner les sites, mais aussi de réaliser des statistiques et d’adresser de la publicité ciblée. La réglementation européenne imposait déjà de recueillir le consentement des visiteurs du site internet au dépôt de cookies, mais le RGPD est venu renforcer ces exigences. Il devient de plus en plus simple pour les visiteurs de refuser en bloc tous les cookies

Le défi pour les annonceurs est désormais le suivant : comment encourager les utilisateurs à consentir au dépôt de cookies de manière conforme à la réglementation ? 

Les participants :

Lors de ce webinar, Sylvain Chemtob, directeur du cabinet de conseil DPO Consulting SUD-EST, expert de la protection des données personnelles, apportera un éclairage sur la réglementation en vigueur et la position de la CNIL, tandis que Antoine Coulloudon, directeur de l’agence FRSH, expert en communication, vous présentera des solutions pratiques pour recueillir le consentement des utilisateurs de manière efficace et conforme. 

Au programme :

Retrouvez-nous pour 30 minutes de conseils pratiques et 10 minutes de questions-réponses.

Le Webinaire sur les Cookies et le RGPD :

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Vous avez dit retour à la normale ? https://frsh.fr/deconfinement-vous-avez-dit-retour-a-la-normale/ Tue, 05 May 2020 10:04:06 +0000 https://frsh.fr/?p=54261 Nous vous proposons dans cet article une méthode pour répondre à ce grand enjeu qui est le déconfinement. Vous n’avez peut-être pas envie de faire comme avant, cette période vous a fait vous poser beaucoup de questions sans réponses et c’est normal, avant tout il faut revoir la finalité de votre entreprise. Et si vous accélériez sur le digital, la nouvelle valeur refuge ?

Programme pour être opérationnel dès la fin du confinement

#1 Faire un auto diagnostic

Réévaluez votre offre et réfléchissez à votre environnement.
Certaines questions clés peuvent vous aider : 

  • Comment pouvez-vous apporter plus de valeur à vos clients tout en optimisant la rentabilité de vos services / produits les plus vendus ? 
  • Quelles sont les opportunités que j’ai pu manquer ? 
  • Mes équipes se sont-elles adaptées aux nouveaux enjeux ?

#2 Se tourner vers la concurrence 

Pour bien se connaître, il faut aussi connaître ceux qui nous entourent. Il est primordiale de s’intéresser aux nouvelles offres que la concurrence a récemment proposée ainsi que les canaux de vente.

  • Comment ont-ils communiqué et avec quelle régularité ? 
  • Quelles idées / best practices pouvez-vous adopter pour accentuer cette différenciation ? 

Pensez toujours à vos concurrents indirects !

#3 La cible et ses demandes 

  • Prenez le temps d’écouter vos publics ! Vos messages sont-ils adaptés ? 
  • Vos cibles ont-elles un nouveau besoin sur lequel vous pourriez vous positionner ?

Il est donc important de faire un bilan de vos capacités à répondre aux anciens et nouveaux besoins, se réinventer et réfléchir au delà pour proposer une ligne de conduite claire et lisible.

#4 La communication 

La communication digitale est un élément stratégique crucial et notre rôle est de vous accompagner pour mieux exprimer vos besoins et préparer ensemble un plan d’action concret.

#5 Le plan d’action

  • Comment mettre en place votre plan opérationnel ?
  • Devez-vous adapter vos services ? 
  • Quels outils à mettre en place pour déterminer la performance de vos actions ?

Comme toujours, les crises font office d’amplificateur, et les projets digitaux vont être au cœur de votre stratégie bien au-delà de ces prochains mois.
Et si vous transformiez cette crise en avantage concurrentiel ?

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Comment référencer mon contenu ? https://frsh.fr/referencement-comment-referencer-mon-contenu/ Mon, 09 Mar 2020 11:06:47 +0000 https://frsh.fr/?p=54211 Vous n’arrivez pas à améliorer votre visibilité, ou votre site n’est pas bien placé dans les moteurs de recherche ? Voici les bases du référencement, pour gagner en visibilité efficacement.

Qu’est-ce que le référencement ?

Appelé SEO dans le jargon (pour Search Engine Optimization), le référencement vise à influencer la position d’un site internet dans les résultats des moteurs de recherche (Google, QWant, DuckDuckGo, Bing, Yahoo…). Il est le nerf de la guerre de votre visibilité en ligne pour vous permettre d’exister sur le web parmi les plus de 1 723 246 987 sites web dans le monde1.

Pourquoi faut-il être bien référencé ?

Votre site internet est bien entendu accessible en saisissant directement son URL dans un navigateur, mais il faut garder à l’esprit qu’environ ⅓ des connexions viennent d’un moteur de recherche, et plus de 90 % des internautes commencent leur navigation avec un moteur de recherche ! Dès lors, le bon référencement de vos contenus devient vite la priorité pour augmenter le nombre de visite (d’autant plus quand on sait que 60 % des utilisateurs cliquent sur l’un des trois premiers résultats d’une recherche). 

Pourcentage de clics selon la position dans les résultats (source)

Comment référencer ses pages ?

Le contenu

La qualité du contenu de vos pages est bien entendu le premier critère à prendre en compte. Si vous intéressez les internautes, tôt – où tard, si vous êtes mal référencé – cela paiera. Inversement, vous aurez beau optimiser comme il faut votre site, s’il ne présente pas d’intérêt particulier, il ne sera que peu visité.

Il s’agit donc de proposer un contenu original (dans le sens non redondant avec de nombreux autres sites), régulièrement et en prenant en compte le fait qu’on ne rédige pas pour le web de la même façon qu’on le ferait pour un magazine, un flyer ou encore un roman.

Les mots clés

Les recherches se faisant principalement par la saisie de mots clés (même si les recherches conversationnelles via la reconnaissance vocale sont en augmentation), il s’agit de bien les choisir, les placer et les optimiser.

Optimiser les URL

Les mots clés étant pris en comptes dans les URL, il s’agit d’activer la réécriture d’URL sur votre site (s’il s’agit d’un CMS), ou d’indiquer des URL optimisées : www.monsite.com/mot-cle-adapte-a-mon-contenu plutôt que www.monsite.com/article-id=1

Optimiser le référencement via les métadonnées

La balise title

Elle représente le titre de votre document. Cette balise est reprise dans la barre de titre de votre navigateur et dans les résultats des moteurs de recherche. Il s’agit donc souvent du premier élément qui va pouvoir accrocher vos potentiels visiteurs.

La balise meta-description

Il s’agit d’un résumé (en 155 caractères) de votre contenu. Il va confirmer (ou non) à l’internaute que la page sur laquelle il va se rendre correspond bien à ce qu’il recherche. Il s’agit donc de profiter de cet espace pour être à la fois explicite et accrocheur.

Meta description

Optimiser le référencement via les balises HTML

Les balises d’entêtes (H1, H2, H3, H4, H5, H6)

À la manières des fameux « titres de niveau 1, titre de niveau 2… » que l’on peut retrouver sur les logiciels d’édition de textes, ces balises vont hiérarchiser votre contenu. Elles sont utiles pour les moteurs de recherches qui vont accorder plus d’importance aux mots clés placés sur ces balises. Elles servent également à améliorer la lisibilité pour le visiteur.

La balise H1 doit être unique, et les balises suivantes doivent respecter une hiérarchie logique :

Exemple de balise H2

    Exemple de balise H3

    Exemple de balise H3

        Exemple de balise H4

Exemple de balise H2

Comment référencer ses images/vidéos ?

La première étape lors de l’ajout d’un visuel ou d’une vidéo sur votre site web et de la nommer correctement. Une fois de plus, les mots clés sont utiles à la bonne indexation par les moteurs de recherches. Préférez donc « referencement-visuel.jpg » à « IMG_1684.jpg » (évitez les accents et caractères spéciaux).

Pensez également au poids de vos médias. Depuis 2010 et l’algorithme de Google « Caféine », les sites trop longs à charger sont pénalisés.

Principaux algorithmes Google
Source : mounirdigital.fr

De la même manière que pour vos pages, vous devez également référencer vos images et vidéos à l’aide de balises meta :

La balise alt (texte alternatif)

Les moteurs de recherche ne sachant pas interpréter le contenu d’images ou de vidéos, il convient de leur attribuer des mots clés. N’essayez pas de les duper en y mettant un trop grand nombre de termes, ou en saisissant des mots qui ne sont pas en rapport avec le visuel et son contexte.

Cette balise permet également d’afficher ces mots clés si l’image n’est pas affichée (connexion trop lente, interrompue ou image manquante).

La balise title

Cette balise n’a pas d’effet sur le référencement de vos images, mais elle a une utilité pour rendre accessible votre site internet. Elle affiche au survol de la souris une petite info-bulle pouvant donner une indication.

La balise légende

Cette balise n’apporte pas non plus de valeur ajoutée pour le référencement, mais une indication à propos l’image, en affichant le texte saisi sous le visuel.

Vous avez suivi tous ces conseils et votre site n’apparait toujours pas en bonne position ?

Pas de panique ! Le monde du référencement est impitoyable et ultra-concurrentiel. Il faut garder à l’esprit que tout le monde souhaite apparaître dans les premières places des moteurs de recherche. Les places sont donc chères (au propre comme au figuré, car le référencement payant est également possible !) et les critères pour y figurer sont nombreux :

  • ancienneté du site
  • nombre et qualité des liens entrants
  • notoriété
  • rapidité du temps de chargement
  • fréquence de mise à jour du contenu
  • sécurité HTTPS du site
  • compatibilité mobile

Selon votre domaine d’activité, il peut être difficile de se hisser rapidement en bonne place, mais en optant pour une bonne stratégie, on arrive toujours à ses fins.

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